Et le savoir-penser ?

Et le savoir-penser ?

Dans toutes les formations en coaching (chez Coaching-Services en particulier), les notions de savoir-faire et de savoir-être sont toutes deux très présentes, par l’acquisition d’outils, de techniques et de structures d’un entretien pour la première, par la connaissance de soi, la gestion de la relation et des émotions pour la seconde. La présence conjointe de ces deux pôles permet à un coach de garantir que son travail est à la fois professionnel et personnalisé.

Si l’une de ses notions est mise de côté ou ignorée, certaines dérives sont susceptibles d’apparaitre très vite. Nous avons tous en mémoire certains coachs qui ne voient leur travail que comme un enchainement d’« outils » plus ou moins adaptés à la situation de leur coaché. A l’inverse, pour d’autres coachs, tout est émotion, tout est intuition, et ils se perdent parfois en route (ou ils égarent leur coaché), faute de structure ou de cadre adapté.

J’aimerais aborder aujourd’hui avec vous une notion quasi absente du champ du coaching, celle du savoir-penser, c’est à dire tout ce qui se passe dans la tête du coach pendant ou après un coaching.

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Et si le coaché se questionnait davantage…

Et si le coaché se questionnait davantage…

Un coach pose des questions : quelle évidence ! Un coach se forme pour poser des questions utiles et pertinentes. Quel truisme ! Et pourtant…

Revisiter ses questions et observer leur enchaînement, leur orientation au fil des séances instruit à plus d’un titre. Combien de temps passe un coach au jeu des questions-réponses dans une séance? Que se passera-t-il s’il réduit le nombre de questions? Quels profils de coachés m’aident ou me desservent dans la qualité de mon questionnement ? Leur analyse et leur observation in vivo révèlent, dans une certaine mesure, nos états d’âme en termes de processus de coaching et de relation avec notre coaché. Un inventaire de nos questions met en évidence nos routines, notre style et notre attachement à l’une ou l’autre approche de coaching. Parfois, elles expriment en arrière-plan notre sensibilité, nos valeurs et croyances. Après quelques années de pratique, il est utile d’entreprendre un examen attentif de son questionnement. Il se pourrait que cela soit une belle manière de faire « un grand service » et de prendre conscience de la nécessité de chasser des manies et de renouveler notre pratique.

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