Le coach voyageur

Le coach voyageur

La pause estivale touche à sa fin, les derniers aoûtiens sont de retour de vacances, après avoir éventuellement bravé le bouchon du Gothard et défait leurs valises. C’est aussi le moment de revoir des voisins, des collègues de travail et des amis pour leur parler d’une des activités principales en lien à la parenthèse de l’été : notre (ou nos) voyage(s).

Je dois vous avouer humblement que je redoute cet exercice : que cela soit la Floride, Zermatt ou l’Andalousie, les récits de mes interlocuteurs (et les miens aussi, d’ailleurs) me mettent souvent mal à l’aise, car ils se limitent la plupart du temps à une énumération de faits, d’anecdotes et, parfois, d’exploits dignes d’un bon polar, d’un film de James Bond quand ce n’est pas d’un des épisodes des Bronzés.

Ces partages me laissent souvent sur ma faim : je constate en effet que, au-delà de l’échange d’informations, la véritable communication, c’est-à-dire celle qui consiste à livrer ses ressentis et ses émotions, a rarement lieu et mon interlocuteur et moi-même ne faisons que de nous croiser sans véritablement nous rencontrer.

Pour lire la suite, cliquez sur le titre

Vers quelle autonomie ?

Vers quelle autonomie ?

Le coaching vise à rendre le coaché autonome. Voici une phrase encore et encore répétée, et à raison d’ailleurs, tant elle est centrale, voire fondatrice pour notre approche.

Comment cette notion, élevée au stade d’objectif ultime comme sur un piédestal, pourrait-elle être nuancée ?

Pour lire la suite, cliquez sur le titre