Faire pour mieux être ou être pour mieux faire ? ou les deux ?

Faire pour mieux être ou être pour mieux faire ? ou les deux ?

L’autre jour, je partageais un repas avec un ami coach, temps que nous mettons à part pour bien manger, rire, dire des bêtises, parfois de grosses (!), évoquer notre métier, échanger et soumettre nos réflexions sur le monde du travail et des organisations. Quel bonheur ai-je eu à sauter du coq à l’âne, à me laisser surprendre par la réaction que provoque ma réflexion, à n’avoir aucun autre but que de nourrir l’échange et de renforcer le lien ! J’ai goûté à la présence de l’autre et suis convaincu que celle-ci fut suffisante pour passer une belle soirée : pas d’objectif, pas d’attente, mais une présence mutuelle. Quel bienfait de n’avoir rien à faire, rien à gérer, juste être attentif à soi et à son interlocuteur… en particulier pour un coach exerçant au quotidien !

Quelques jours plus tard, j’ai associé le vécu de cette soirée à une réflexion sur la pratique du coaching que mon ami m’a justement partagée ce soir-là.

Au fil de notre discussion, il me fit part de son interrogation sur la vision courante du coaching axé sur le faire faire, sur la mise en mouvement du coaché. Or, cette approche peut dériver vers une forme d’activisme où l’on se définit et où l’on est défini par les actions et surtout les résultats obtenus.

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