Le billet du mois par Myriam Küng : Coronavirus : que dire de plus ?

Difficile d’écrire un édito dans le contexte actuel. Peut-on se permettre de ne pas évoquer ce dont tout le monde parle depuis quelques semaines ? Mais si on en parle, que dire qui n’a pas été déjà dit, répété et multiplié par les médias et les réseaux sociaux ? Comment faire la part des choses au milieu de toutes ces réactions exacerbées ? Peur, colère, bravade, je-m’en-foutisme, critiques en tout genre, recherche de coupables, égoïsmes et altruismes à l’extrême…
En tant que coach, la crise me pose question : comment accompagner au mieux mes clients, mes collègues et mes proches dans ce contexte inédit ? Sans oublier de m’accompagner moi-même à respecter mes limites et écouter mes besoins ?

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Le billet du mois par Myriam Küng : Qui es-tu?

Voici une question très courte à laquelle chacune et chacun peut répondre de nombreuses manières. J’irai même jusqu’à dire d’un nombre infini de manières, car la réponse dépend souvent de plusieurs facteurs : le contexte de la question, la personne qui la pose, la phase de vie dans laquelle on se trouve, l’état d’esprit du moment, les codes sociaux environnants…

Une autre question se cache derrière la première : à quoi est-ce que je m’identifie ?
– à mon travail ?
– à mes hobbys ?
– au pays d’où je viens ?

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Le billet du mois par Norbert Apter : Le TeamCaring, prévention et construction

Les enchaînements du quotidien professionnel embourbent les équipes. Imaginez une voiture sans entretien ! Le TeamCaring est à l’équipe ce que la révision est à la voiture. Sans lui, les rouages de l’équipe risquent de se gripper et, peu à peu, de produire des dysfonctionnements. Le TeamCaring consiste en un temps de recul, pour permettre à l’équipe de faire le point de la situation et d’accroître son dynamisme professionnel.

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Le billet du mois par Olivier Mack : Toute l’équipe de Coaching-Services vous souhaite une belle et heureuse année 2020!

Le coaching : une mesure au service du développement durable ?

Il faudrait être sourd et aveugle, un ermite coupé du monde ou un climato-sceptique convaincu pour ne pas être au courant de LA thématique qui fait la une de l’actualité. Les mots-clés « développement durable », « biodiversité », « réchauffement climatique » ainsi que les noms de Greta Thunberg, d’Extinction Rebellion ou des divers lieux liés aux manifestations pour le climat font partie désormais de nos discussions et de nos préoccupations.

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Nos meilleurs vœux

« Noël n’est pas un jour ni une saison mais un état d’esprit », Calvin Coolidge.

Récemment ma collègue Myriam et moi-même avons travaillé lors d’une formation avec un petit nombre d’entre vous sur les émotions générées par les verbes : donner et recevoir, accepter et refuser. Nous avons constaté qu’il est difficile de se sentir pleinement confortable dans toutes ces postures. Or les fêtes de Noël nous font passer à travers chacune d’elles !

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La systémique, souffle rafraîchissant sur nos réflexions

Nos schémas mentaux sont empreints de notre culture, de notre parcours de formation et de notre histoire de vie. Nous pensons comme on nous a appris à penser, par mimétisme, par imprégnation, dans les livres, les médias, à l’école et ailleurs encore. La pensée systémique n’est pas, de mon point de vue, une manière « naturelle » de penser notre réalité et de la comprendre. Il est souvent nécessaire de désapprendre et de déconstruire nos réflexes cognitifs.

Pour ce faire, je vous propose de plonger tête baissée dans des postulats et autres phrases glanés dans mes formations et mes lectures. Rien n’est de moi. Tout est des autres. Une bibliographie des sources se trouve en bas de page. Si certaines affirmations vous interpellent, vous laissent songeur et suscitent votre curiosité ou de l’incompréhension, j’en serai ravi.

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Résonance, quand tu nous tiens

Le billet du mois par Myriam Küng

J’aimerais aborder avec vous un sujet qui me travaille depuis longtemps : celui de la résonance. J’y ai été confrontée dès les débuts de ma formation au coaching. Lors de mes premiers pas comme élève-coach, j’ai vécu différentes situations où les émotions de la personne que je coachais résonnaient de manière tellement forte en moi que je me retrouvais dans l’incapacité d’assumer mon rôle de coach.

Dans une de ces situations, je me suis sentie bloquée sans trop comprendre pourquoi. J’ai découvert plus tard la notion de « processus parallèle », qui explique comment la problématique que le coaché a avec son environnement peut avoir tendance à se rejouer dans sa relation avec le coach. Par exemple, un coaché persuadé qu’il n’arrivera à rien risque inconsciemment de mettre en échec le coach qui tente de l’aider. Lorsque j’ai le sentiment d’être bloquée en coaching, cela peut être le signe qu’un processus parallèle est à l’œuvre. L’identifier et le conscientiser sont des étapes essentielles pour ne pas en être prisonnier. Selon les cas, il peut valoir la peine d’en parler avec le coaché pour qu’il en prenne aussi conscience. Cela peut être un déclencheur qui l’aidera à débloquer sa propre situation.

Dans une autre de ces situations, les émotions de l’autre me semblaient tellement fortes que j’ai eu peur de les aborder. Ma coachée m’a dit après coup que cela lui aurait pourtant fait du bien de pouvoir les exprimer et qu’elle aurait été à l’aise de le faire avec moi. Ce jour-là, j’ai commencé à prendre conscience que la manière dont je perçois les émotions des autres n’est pas forcément représentative de la manière dont ils les ressentent eux-mêmes. J’ai longtemps cru être une sorte de « radar à émotions » qui captait telles quelles les émotions émises par mon entourage. Au point d’avoir souvent de la peine à distinguer mes émotions de celles des autres.

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Droit dans ses basquettes !

Pour cette rentrée, j’aimerais aborder avec vous un sujet délicat, celui de l’éthique du coach, à travers un questionnement simple. Nous avons tous en nous des compétences diverses et variées qui peuvent nous amener parfois à quitter notre rôle de coach pour marcher dans d’autres chaussures. Cette tendance peut être d’autant plus marquée si nous avons une expertise de la problématique ou du monde dans lequel évolue notre coaché. Est-ce véritablement un problème ?

C’est là où la notion d’éthique intervient. La réponse n’est pas si simple…

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Nouvelles formations courtes avec Norbert Apter

Ces deux nouvelles formations sont dans la continuité de Maximiser l’outil de la chaise vide et La technique du co-coach – des formations ciblées sur la découverte d’une technique des Méthodes d’Action sur une journée. Sans être un prérequis pour s’inscrire, il peut être utile d’avoir déjà participé à l’une des précédentes formations.


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Un monde qui se déchire en deux

Quand j’observe le monde, je me demande parfois si nous ne sommes pas en train de créer un monde à deux vitesses…

Un monde poursuit sa marche folle vers toujours plus de « Tech ». Nous sommes tous hyper connectés, hyper sollicités, hyper stressés. Faire toujours plus en moins de temps, voilà la nouvelle quête du Graal ! Une émission de TV titre : « produire pour jeter », dénonçant Amazon qui jette des produits neufs. L’obésité concerne 40 % des adultes aux USA. Il n’y a plus de limites à notre désir : l’excès du trop !

Et puis l’autre monde freine, voire fait marche arrière ; le matérialisme et la propriété ne sont plus à la mode. Les stages de yoga, méditation, détox prolifèrent, c’est l’ère du slow et du zéro, mais avec l’apparition d’une nouvelle pathologie : l’ « orthorexie [1] ». La génération Y fabrique sa lessive et revient aux couches pour bébé en tissu. La machine à remonter le temps s’emballe : « Less is more » devient la devise.

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